Même si 2021 fut une année pour le moins particulière, elle aura marqué nos 40 ans d’existence. Commencée avec la création de l’ISEG Paris, l’aventure du Groupe IONIS s’est étoffée au fur et à mesure, faisant de nous, quatre décennies plus tard, le leader français de l’enseignement supérieur privé, avec une trentaine d’écoles et d’entités possédant chacune leur propre identité. Une trajectoire exceptionnelle qui n’existerait pas sans les 30 000 étudiants qui nous font confiance chaque année, sans aucun doute, la plus belle de nos réussites.
Évidemment, nous ne serions pas parvenus à écrire tant de si belles pages dans cette histoire commune sans cette obsession qui nous caractérise depuis les premiers jours : celle de se demander dès à présent de quoi demain sera fait. Nous l’avons d’ailleurs inscrite dans notre raison d’être : former les nouvelles intelligences d’aujourd’hui et de demain. Si, par définition, nous n’avons pas d’idées préconçues sur l’avenir (qui pourrait d’ailleurs en avoir ?), notre seule certitude a toujours été de proposer un enseignement et des formations qui garantissent à nos étudiants la capacité à se former tout au long de leur vie, comme l’exigent désormais le monde professionnel et nos élèves, ceux-là mêmes qui souhaitent pouvoir exercer plusieurs métiers dans leur carrière.
Pour ce premier numéro de l’année, nous avons voulu justement en savoir plus sur les métavers, un autre récit passionnant en train de s’écrire sous nos yeux, en allant à la rencontre de Rémi Sussan pour faire le point sur ces univers virtuels sous les projecteurs de l’actualité depuis les récentes annonces de Meta (feu Facebook). Face à cet engouement médiatique, ce journaliste spécialisé dans les nouvelles technologies porte un regard plus nuancé en soulevant un certain nombre de questions, philosophiques et épistémologiques. Citant le concours iGEM dans lequel le Groupe brille régulièrement, Rémi Sussan voit notamment « un énorme avenir pour les univers virtuels dans les sciences », comme pour tous ceux qui travaillent dans la narration. Des sujets sur lesquels nos écoles sont particulièrement bien positionnées.
La promesse du métavers et de ces mondes virtuels sans frontières nous rappelle que l’avenir de nos étudiants passe encore et toujours par une expérience à l’international.
La promesse des métavers et de ces mondes virtuels sans frontières nous rappelle que l’avenir de nos étudiants passe encore et toujours par une expérience à l’international – l’ISG fut d’ailleurs pionnier sur la question en étant l’une des premières écoles à envoyer ses étudiants en Chine dès la fin des années 1960. Mais l’international, c’est aussi savoir accueillir des apprenants venus des quatre coins du monde, ce que nous vous proposons de découvrir dans notre dossier composé de témoignages d’élèves ayant rejoint l’une de nos écoles pour écrire un autre chapitre de leur vie parfois loin de leur pays d’origine. Une expérience qui les marquera à vie.
Enfin, si l’on veut parler de l’avenir, il convient d’abord trouver les mots justes. Plusieurs de nos écoles ont ainsi créé des Observatoires avec l’Ipsos afin de décrypter les besoins actuels et futurs des professionnels dans leur secteur, comme pour Sup’Biotech qui fait le constat que les biotechnologies sont plus que jamais un secteur porteur. De son côté, Epitech a dévoilé une grande enquête sur la féminisation des métiers du numérique. Un problème systémique et plus largement sociétal contre lequel l’école souhaite se battre avec vigueur, avec notre soutien inconditionnel.
Vous l’aurez compris : malgré les lourds défis qui nous attendent, 2022 s’annonce néanmoins enthousiasmante. Que cette nouvelle année nous permette de nous retrouver pour écrire ensemble de nouvelles lignes passionnantes à vivre !
Bonne année et bonne lecture !
Marc Drillech, directeur général de IONIS Education Group