Dossier #53

L’innovation fait sa rentrée

Dans un monde qui change, il n’y a rien de pire que l’inertie. Chaque nouvelle rentrée est ainsi l’occasion pour les écoles et les entités du Groupe IONIS d’introduire de nouvelles approches, méthodes et formations. Cette pédagogie en mouvement permet d’anticiper les transformations d’une société qui ne s’arrête jamais d’avancer. Mais surtout, elle répond à l’obsession de nos établissements d’offrir à leurs étudiants les meilleures conditions pour réussir leur future vie professionnelle, qui se dessine dès à présent.

L’ICE Breaker IONIS : la transversalité en action dès la première année (ISEG, Epitech et e-artsup)

Valeur cardinale du Groupe IONIS, la transversalité est intégrée tout au long des différents parcours, à travers des passerelles de plus en plus nombreuses entre les différentes écoles, comme l’incontournable Project Week (en 3e année) organisée depuis de nombreuses années. Pour aller encore plus loin dans cette dynamique et la mettre en place dès la 1re année, l’ISEG, Epitech et e-artsup ont imaginé l’ICE Breaker, dont la dernière édition s’est déroulée le 27 septembre sur les sept principaux campus de IONIS Education Group. L’idée est que les étudiants de trois univers différents, mais complémentaires, fassent connaissance très rapidement pour développer des synergies. « Ces écoles sont naturellement amenées à se rapprocher, explique Adrienne Jablanczy, directeur général de l’ISEG. On ne travaille pas dans la communication et le marketing seul dans son coin : on imagine des produits en équipe, avec du design et des outils informatiques. Sur les 5 années de formation de ces trois écoles, les étudiants collaborent régulièrement. L’ICE Breaker est pensé pour qu’ils parviennent à se connaître et se rapprocher dès la 1re année autour d’activités communes. Et surtout, qu’ils comprennent qu’ils seront amenés à travailler plus tard avec des profils différents. Ils ne seront ainsi pas déstabilisés dans leur future vie professionnelle. Nous sommes les seules écoles à pouvoir faire cela dès le début des études grâce à la grande diversité des écoles du Groupe IONIS. »  

Sup’Biotech lance
son premier Bachelor

Pour répondre aux besoins des acteurs des biotechnologies et des entreprises en recherche constante de cadres intermédiaires, Sup’Biotech vient d’ouvrir son premier Bachelor. Accessible depuis le campus parisien de l’école, cette formation est essentiellement axée sur la pratique en laboratoire et sur les projets. Elle permet d’acquérir des bases théoriques et techniques solides autour des sciences du vivant et des sciences fondamentales, ainsi que de développer des compétences en management de projet. Ce Bachelor a été pensé pour accompagner l’émergence de nouvelles méthodes de production, l’analyse de modèles biologiques de plus en plus complexes et la volonté de développer des produits plus respectueux de l’environnement. Les biotechnologies sont plus que jamais un secteur d’avenir, qu’il s’agisse de la santé, de l’agroalimentaire, de l’énergie ou de la cosmétique. Des secteurs qui ont besoin de nouveaux profils à Bac +3 pluricompétents et opérationnels, justement formés par ce nouveau programme.

S’immerger dans les technologies de demain dès le Cycle Préparatoire (EPITA)

Afin de préparer ses futurs diplômés aux technologies les plus innovantes, l’EPITA propose à ses étudiants de les former le plus tôt possible aux enjeux fondamentaux qui dessinent l’informatique de demain. Intelligence artificielle, cybersécurité, informatique quantique, IoT et robotique, systèmes embarqués, réalité virtuelle et augmentée, fintech, informatique quantique, autant de domaines qui vont changer la société et dans lesquels les ingénieurs de l’EPITA seront des acteurs importants. Pour cela, l’école propose à ses élèves de 1re  et 2e année du Cycle Préparatoire de se familiariser avec ces différents thèmes, en leur permettant, au-delà des aspects scientifiques et technologiques, d’étudier leurs implications économiques, sociétales, environnementales et éthiques. Chaque thème sera ainsi développé sur un cycle de cinq semaines avec une phase d’étude scientifique, puis une autre de mise en application avec un travail personnel. Les étudiants auront l’occasion de rencontrer les principaux acteurs de ces secteurs, mais aussi des spécialistes issus d’autres univers qui mettront en lumière les nombreux impacts liés au déploiement de ces technologies.

Former des ingénieurs encore plus responsables (ESME)

 

Pour les 1res années de l’ESME, cette rentrée marque l’introduction d’une nouvelle unité d’enseignement : Méthodes de l’Ingénieur Responsable. Ce module a pour objectif de développer des compétences de compréhension, d’analyse et d’optimisation des systèmes technologiques et de leur impact sur l’environnement et la société. « Ils devront pour cela mobiliser des connaissances en sciences physiques, sciences du vivant, sciences de l’ingénieur et sciences et société en s’appuyant sur des cours dédiés, sur des ressources numériques et sur des séances de mise en situation, explique Véronique Bonnet, directrice générale déléguée de l’école. Pour l’évaluation, fini les devoirs surveillés et les épreuves de partiels traditionnels qui ne permettent ‘que’ le contrôle de l’acquisition de connaissances, place à la valorisation des progressions dans l’acquisition d’une grille de compétences. »

L’International Track d’Epitech Technology, pour se consacrer au monde

Alors que l’international a toujours fait partie de son ADN, Epitech Technology est la seule école d’informatique dont les cursus comptent une année entière à l’étranger, l’établissement propose, depuis cette rentrée, la possibilité de suivre son programme Grande École de 5 ans, totalement en anglais et 100 % à l’étranger. L’International Track permet ainsi aux étudiants de découvrir les principaux lieux d’innovation, en Europe et à travers le monde. D’un point de vue technique, la formation reste la même, mais elle est enrichie de modules d’anglais et laisse une grande place à l’interculturalité. Accessible en 1re année à Paris, le cursus amène ensuite les étudiants dans les principaux campus européens d’Epitech (Barcelone, Berlin, Bruxelles ou Genève), puis dans l’une des 100 universités partenaires de l’école. L’International Track s’achève à Paris, à New York ou dans le pays dans lequel l’étudiant souhaite s’implanter à l’issue de ses études.

Les quatre filières d’e-artsup se transforment en 3+2

Depuis cette rentrée, les quatre programmes d’e-artsup offrent désormais la possibilité de décrocher un Bachelor (Bac+3), puis un Master (Bac+5). Le Bachelor permet d’acquérir les fondamentaux : culture créative et visuelle des grands secteurs, maîtrise des techniques de production en lien avec les professionnels des métiers de la création. Puis le Master, quant à lui, permet d’aller plus loin dans l’approfondissement, avec en point de mire la réalisation d’un grand projet de fin d’études. e-artsup propose ainsi quatre filières pour former des professionnels dans quatre grands secteurs : la direction artistique (web agency, agence de com, agence de pub), motion design (agence de motion, annonceur), cinéma d’animation 2D/3D (studio de production, studio d’animation), game design et jeux vidéo (éditeur de jeu, studios indépendants).

L’IPSA renforce
l’accompagnement
et le soutien de ses étudiants

Pendant les confinements, l’école a mis en place un accompagnement renforcé de ses étudiants, via le dispositif IPSA Ensemble qui vient d’être pérennisé. Outre des rendez-vous réguliers avec les professeurs référents, du tutorat et du parrainage, l’école propose une permanence (en ligne et physique) avec une psychologue pour des entretiens anonymes, deux soirs par semaine. Tout au long de l’année, l’IPSA également va proposer différentes conférences et ateliers pour apprendre gérer son stress, booster sa motivation et à améliorer ses méthodes d’apprentissage. Dans cette initiative, comme l’année dernière, l’établissement est accompagné par l’association Stud’Act.
Avec cette même optique et suite à la récente réforme du Bac, l’école propose désormais un soutien spécifique. Les étudiants ont ainsi pu suivre un programme de travail sur-mesure pendant l’été, qui s’est conclu, à la rentrée, par une semaine de remise à niveau en mathématiques et en physique. Puis, pendant toute l’année, les étudiants pourront bénéficier de séances de soutien offertes par l’école, en maths, en physique et en anglais, et d’une inscription gratuite à la plateforme J’ai20enmaths.com.

L’année d’excellence de la PHG Academy

Désormais, les talents les plus prometteurs repérés lors de la 1re année (et unique année de formation postbac proposée par la PHG Academy) auront accès à une année d’excellence. Celle-ci leur permet d’être accompagnés et encadrés dans un environnement professionnel, entièrement adapté à la pratique intensive de l’E-sport. Les cours offrent un approfondissement des connaissances et des pratiques acquises en 1re année, avec une attention portée à la future carrière de cyberathlète, comme la gestion d’image, le management ou la pratique de l’anglais spécifique à ce secteur. Une agence spécialisée aide et conseille les élèves afin qu’ils puissent rejoindre les meilleures équipes. Mais surtout, ces journées sont dédiées à la performance et à l’entraînement intensif, concernent également la préparation mentale (psychologie, habileté, gestion de crise…) et physique (nutrition, coaching…). Encadrée par des coachs professionnels, l’année d’excellence se déroule sur le campus parisien de la PHG Academy. Si les candidats sont nombreux, elle ne compte qu’une trentaine d’heureux sélectionnés, dont une partie de boursiers.

Le Bachelor en management international (BMI) de l’ISG fait peau neuve

Diplôme visé Bac+3 en management international, le BMI de l’ISG a été entièrement repensé autour de trois axes de développement : les compétences métiers, les compétences numériques transverses et les softs skills. Cette formation s’adresse aux étudiants désireux d’exercer dans des entreprises ou souhaitant se développer à l’étranger, avec au cœur de la pédagogie l’anglais et la dimension multiculturelle. Autour de quatre spécialités (développement international, ressources humaines et mobilité internationale, achats et logistique, marketing et communication en environnement international), le BMI permet de développer une vision globale du management international, en intégrant une dimension plus large des problématiques et des enjeux qui transforment les organisations, comme le développement durable, la RSE, la protection et la valorisation des données ou la mobilité. En 3e année, la formation confère des doubles compétences grâce à des modules conçus en partenariat avec certaines écoles d’ingénieurs du Groupe IONIS : luxe, cosmétique et biotechnologies (avec Sup’Biotech), chatbot pour le e-commece (avec l’EPITA), food et foodtech (avec Sup’Biotech), drones et logistique (avec l’IPSA). L’accent est aussi porté sur les soft skills afin de former des profils polyvalents et opérationnels capables d’imaginer les nouveaux business model de demain.

ISEG : trois Majeures pour développer ses talents

Dans un monde bouleversé par les Big Data, l’intelligence artificielle et les algorithmes, les futurs dirigeants et managers de la communication et du marketing seront amenés à gérer des situations complexes nécessitant des compétences au-delà de leur champ initial d’études. Et par définition, la capacité à innover ne se limite pas à un seul univers. C’est pourquoi l’ISEG propose désormais à ses étudiants dès la 1re année (et tout au long du Bachelor) un choix entre trois Majeures, en parallèle du programme communication et marketing : la Majeure International (avec ses universités partenaires), la Majeure Création (avec e-artsup) et la Majeure Digital (avec Epitech). Elles s’appuient sur une diversité de méthodes pédagogiques : cours interactifs, workshops, webconférences, projets interdisciplinaires, e-learning, multimédia… Pour Adrienne Jablanczy, directeur général de l’ISEG, cette nouvelle disposition « correspond au besoin des élèves d’avoir des parcours personnalisés :  Nous avons ainsi créé ces trois Majeures pour qu’ils puissent développer leurs talents avant même les spécialisations du deuxième cycle. Tous ces programmes ont été créés en lien avec d’autres établissements. Ils illustrent la volonté de notre école d’être une interface au service de la pluridisciplinarité et de la co-création. »

 

Booster

Six semaines
au service de l’intégration
des nouveaux étudiants de l’ESME

Pour cette nouvelle rentrée, l’ESME lance Booster, un dispositif de six semaines d’immersion progressive pour faciliter davantage l’intégration des nouveaux étudiants. Véritable sas d’entrée dans la vie étudiante, Booster démarre par une semaine d’immersion en anglais pour permettre aux étudiants d’apprendre à se connaître et explorer la vie sur le campus. Viennent ensuite quatre semaines mêlant ateliers méthodologiques, cours de rappel et d’homogénéisation des connaissances, activités de cohésion et conférences. Booster a été ainsi pensé pour permettre de créer une véritable cohésion, se remettre à niveau si besoin et nourrir sa curiosité. Et chaque campus de l’ESME Sudria propose un programme propre qui s’achève par un créathon pendant lequel les étudiants développent un projet à impact sociétal s’inspirant du vivant, en partenariat avec makesense et le CEEBIOS.

Une plateforme d’e-learning pour aller encore plus loin (ISEFAC Alternance et ISEFAC RH)

L’ISEFAC Alternance et l’ISEFAC RH ont fait évoluer leur plateforme d’e-learning dont se servent leurs étudiants en alternance, tout au long de leur formation. Elle a ainsi évolué, devenant plus dynamique et personnalisable, pour offrir un plus grand nombre de supports de formation et des contenus inédits, avec la possibilité d’interagir. Parmi ceux-là, ZOOM, un podcast qui analyse l’actualité professionnelle des secteurs du marketing, de la communication, du commerce et du digital, ainsi que l’émission Pensons plus loin qui donne la parole à des experts sur un sujet de fond et de société. « L’idée était d’aller plus loin que l’e-learning classique, explique Jonathan Geandrot, directeur des études de l’ISEFAC Alternance. En fonction des likes et des centres d’intérêts des élèves, un algorithme intelligent va leur proposer des contenus de cours, y compris d’autres filières, qui viendront compléter leur formation et les faire s’ouvrir à d’autres matières. Nous allons également développer de nouvelles émissions, notamment des débats, car les premiers podcasts ont été très suivis. Tous ces modules viennent enrichir le parcours de nos étudiants. » Et d’aller au-delà des fondamentaux et des compétences professionnelles propres à leur spécialisation.

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